Entre l’anglais et l’espagnol, New York et Buenos Aires, le Nord colonisateur et le Sud exploité, l’intime et le social, ses origines et sa destination, un émigré juif rend hommage à son père. Sous les images, les sous-titres s’autonomisent de la bande-son, qu’il leur arrive de commenter plutôt que de traduire. Son, image, récit, pensée s’entrecroisent pour parler d’identité, de refuge, d’exil et d’oubli. Un inédit Club Shellac présenté en première mondiale au FIDMarseille 2020.