Panique au Sénat

Un étrange jeu d’alliances amène un écologiste radical à la présidence du Sénat. Convaincu que la France a besoin de relâchement et que les policiers doivent cesser de faire usage de leur arme pour ne pas effrayer les oiseaux, il impose à tous ses confrères, unanimement masculins, de laisser pousser leur barbe, de même que les secrétaires leurs poils et les haies du jardin leurs feuilles. Difficile, pour les enfants capricieux que sont les hommes de pouvoir, de se plier à une telle règle ; et sous leurs moustaches et barbes postiches, ils ne tardent pas à ourdir un complot.