
Goodbye Mister Wong
Prix | 19,90 € |
- Contenu
- 3 films
- Chapitres
- Livret
- Format
- 16/9 - format 1.85 respecté
- Couleurs
- PAL
- Multizones
- Audio
- Versions originales allemandes sous-titrées français
- Son 5.1
- Durée
- 100 min / 82 min / 52 min
Un premier film laotien, une grande romance au fil de l’eau
Goodbye Mister Wong
Goodbye Mister Wong
de Kiyé Simon Luang
- Singulier et lumineux : la nouvelle vague du cinéma laotien
- Le Monde
Au bord du lac Nam Ngum, au nord du Laos, les destins croisés de France, une jeune femme convoitée par deux hommes venant de deux mondes très différents, et de Hugo un français à la recherche de la femme qui l’a quitté un an plus tôt.
La proclamation de la République démocratique et populaire lao, en 1975, amène sur les routes de l’exode, puis chez une famille française adoptive, dans le Creusot. Les années passent, mais l’exil a ses limites : à un moment, on cesse d’avancer, on s’ancre, on s’immobilise, puis on n’a d’autre choix que de faire demi-tour. Pour aller où ? Suivre artificiellement son parcours en sens inverse, retourner dans son pays d’origine qui ne sera pourtant plus jamais le même ? Ou transmettre à ses enfants qui l’on est et d’où l’on vient ?
Après trente-cinq ans passés en France, Hèk rentre au Laos : entre-temps, son père y est mort. Avec Hé, son frère resté vivre là-bas, sur l’entremise de leur mère qui veut lui offrir son dernier voyage, il emmène les cendres paternelles dans son village natal, dans les montagnes du Nord. C’est ce trajet entrepris en tuk tuk, moyen de locomotion souple mais hasardeux, qui fait cheminer en lui la perte, le deuil, la cicatrisation et peut-être une forme de réconciliation.
- Le film Goodbye Mister Wong
- Deux films de Kiyé Simon Luang
- Ici finit l’exil (2010)
- Tuk Tuk (2012)
- Livret
- Entretien
- Notes sur le cinéma laotien
- Biographies / filmographies