Dans l’antichambre d’un cinéma porno dont les portes battantes laissent filtrer des cris et des gémissements peu convaincants, Simone Barbès « comme Barbès » déchire les tickets des hommes qui y rasent les murs (couverts d’une moquette marronnasse) tout en faisant la morale à sa collègue chagrine, empêtrée dans une histoire d’amour malheureuse. Puis elle sort : dehors, la nuit est pleine de lumières, de violences, de danses, de solitudes et d’amour.